(EXEMPLE D’UN PROJET PCT)
Pays : XXX Dénomination du projet : Appui à la multiplication et à la distribution de boutures saines de manioc au xx et à zz Numéro du projet : PCT/XXX/.... Date de démarrage : Décembre 200- Date d’achèvement : Mai 200- Ministère chargé de l’exécution du projet : Ministère de l’agriculture (Institut pour la recherche agronomique IRA) Contribution de la FAO: 270 000 dollars EU
II. GÉNÉRALITÉS ET JUSTIFICATIONLa République XXX est un des plus grands pays producteurs et consommateurs du manioc au monde. Avec une production d'environ 19 150 000 tonnes par an, le manioc est pratiquement la seule culture de base, parmi les cultures principales de la XXX, qui satisfait à la demande nationale et ne connaît pas d'importation officielle tandis que d'autres cultures principales telles que le mais et le riz connaissent un taux d'accroissement à l'importation. Le manioc fournit plus de 60 % de calories et est consommé par plus de 70 % de la population. En plus des racines tubéreuses, les feuilles de manioc, communément appelées "Pondu" sont très populaires et consommées comme légume vert sur toute l'étendue du pays. C'est l'un des rares légumes disponibles durant toutes les saisons de l'année. La farine et les feuilles de manioc constituent, dans le contexte de pauvreté accentuée que connaît le pays, le repas encore un peu accessible aux populations. Toutefois, depuis plus de cinq ans, l’état phytosanitaire du manioc est devenu alarmant à cause d’une recrudescence de certaines maladies notamment la mosaïque (CMD), la bactériose (CBB) et la cochenille radicole. La maladie «d'épaississement des boutures » récemment observée sur le manioc planté en forêt et la suspicion de la variante ougandaise du virus de la mosaïque de manioc ont aggravé la situation déjà précaire de la production du manioc. En plus, par son mode de propagation végétative, plusieurs facteurs dont l’accumulation des pathogènes et des mutations sporadiques, entraînent la dégénérescence et/ ou le vieillissement précoce du matériel génétique qui n’est plus renouvelé comme par le passé. Depuis plus d’une décennie, le pays fait face à une période de crise générale due à la dégradation de la situation économique et aux guerres. Cette crise a particulièrement touché les services du Ministère de l’agriculture avec les effets négatifs sur la recherche – développement et l’abandon/ destruction des parcs à bois qui servaient jadis au renouvellement des boutures saines auprès des paysans. Dans le cadre du programme agricole d’urgence mis en œuvre avec l'appui de la FAO, une demande pressante en boutures améliorées du manioc ne parvient pas à trouver solution faute des sources d’approvisionnement en ce matériel. Il y a donc un manque cruel en matériel de plantation auprès des paysans. Ceci, couplé au mauvais état phytosanitaire du manioc, pourrait exposer de nombreuses familles du pays à une insécurité alimentaire surtout les populations rurales et celles de la ville de .... La Représentation de la FAO sollicitée par le Gouvernement pour apporter une assistance dans ce domaine, a dépêché une mission d’expertise pour un mois (mi-mai à mi-juin 200-) dans les provinces du xx, du yy et de zz. L'objet de cette mission était d’évaluer l’incidence des maladies et ravageurs affectant la production du manioc, d’identifier la disponibilité des variétés résistantes et de formuler des actions urgentes pour relancer la multiplication et la distribution des boutures améliorées auprès des paysans. L’étude a confirmé la gravité de la situation phytosanitaire du manioc et l’urgence pour le Gouvernement de définir une stratégie pour une intervention rapide dans la production et la diffusion des variétés résistantes aux maladies et ravageurs du manioc. De même, il a été noté dans ce cadre que l’Institut pour la recherche agronomiques (IRA) à ... disposait de quelques variétés améliorées dont quatre d’entre elles renfermaient un bon degré de résistance aux maladies et pourraient servir de matériel de base à une opération rapide de multiplication des boutures de manioc. Suite à cette mission et avec l’appui du Gouvernement, des concertations ont eu lieu entre les différents partenaires concernés dans la production du manioc en XXX en vue de la redynamisation de la collaboration entre l’IRA et l’IITA – Ibadan (Institut international d’agriculture tropicale) pour les activités de recherche et développement sur la culture du manioc. A cet effet, l’IITA va financer la formation d’un expert de l’IRA à Ibadan pour un court stage sur la gestion des plantules tissulaires de manioc et cet expert ramènera en XXX environ 200 clones parmi les clones élites de l’IITA pour évaluation, sélection et diffusion éventuelle en milieu paysan. Le programme mondial de lutte intégrée de la FAO Rome (Global IPM Facility) a aussi financé le recrutement d’un consultant national pour trois mois (mi-juin à mi-septembre 200-) afin de coordonner les activités de lutte intégrée contre les maladies et les ravageurs du manioc. La province xx et la commune rurale de ... (zz) constituent les greniers les plus importants de la capitale du pays et leurs productions agricoles sont facilement transportées sur la capitale. En plus, le xx présente des opportunités et atouts non négligeables pour la relance de la production du manioc notamment l’existence des structures de recherche agronomique dont les stations de recherche et des centres d’adaptation de l’IRA, la disponibilité relative du matériel végétal amélioré, la présence des fermes semencières et des agri-multiplicateurs, l’existence de quelques chaînes audiovisuelles, etc. L’IRA possède par ailleurs des ressources humaines qu’il faudrait renforcer pour améliorer l'expertise dans les techniques de multiplication de manioc. Par contre, il manque de moyens financiers pour organiser la multiplication des boutures de manioc. La commune de ... présente également des atouts pour la production du manioc: la disponibilité des terres arables du plateau des ..., la présence des fermiers et des ONGs . Toutes ces opportunités, couplées à l’expertise nationale disponible, une fois mises à contribution et exploitées rationnellement, constitueront un avantage énorme pour la multiplication rapide du manioc en XXX et au développement de la culture du manioc, essentielle à la sécurité alimentaire des populations des provinces concernées. C’est dans ce contexte que le Gouvernement a demandé une assistance technique urgente de la FAO, au titre du Programme de coopération technique, pour une aide aux paysans du xx et de zz afin de sécuriser et relancer la production du manioc en milieu paysan. Cette assistance vient en complément aux initiatives passées ou en cours d’exécution dans le cadre ou en liaison avec le Programme spécial pour la sécurité alimentaire de la XXX. L'assistance sollicitée dans le cadre de ce projet permettra de relancer et d'organiser la multiplication du manioc qui s'inscrit dans un programme plus vaste de relance de la production agricole et qui bénéficiera de l'appui attendu d'autres partenaires (PNUD, xxx, yyy). III. OBJECTIFS DE L'ASSISTANCEL’objectif de l'assistance est d’appuyer le Gouvernement dans son effort de développement et de renforcement des capacités de relance de la production du manioc en général, et au xx et à zz en particulier afin d'améliorer la production de cette culture et assurer la sécurité alimentaire dans les deux provinces. Plus spécifiquement, le projet vise :
IV. RÉSULTATS ATTENDUSLes 12 ha de matériel disponible à l’IRA/... seront utilisés comme matériel de base pour installer 34 ha de nouveaux champs de multiplication (basés sur l’emploi de boutures d’un ou de deux internodes) pour les champs primaires établis et contrôlés par l’IRA et les ONGs et environ 16 ha des champs de multiplication communautaire (boutures normales mais plantées à 1 m x 0.5 m). Les variétés résistantes Rav, Sadisa, Mahungu et 92/377 ont un bon degré de résistance à la mosaïque et à la bactériose. La probabilité que ces variétés résistent ou tolèrent la souche ougandaise de mosaïque est plus élevée. A la fin du projet, les résultats suivants sont escomptés :
L’exécution du projet aura comme effet de stabiliser et d’accroître la production du manioc, de contribuer à assurer une source des revenus aux producteurs et à un approvisionnement régulier et stable de la ville de ... en cossettes sèches de manioc, en racines tubéreuses fraîches de manioc doux et en feuilles de manioc (pondu). V. PLAN DE TRAVAILL'exécution du projet se fera sous la responsabilité conjointe d'un Coordonateur national et d'un Expert national, assistés par un consultant CTPD et le personnel local. Des synergies, entre ce projet et la stratégie mondiale de développement de manioc (Global Cassava Development Strategy) adopté lors du forum international organisé conjointement par la FAO et le FIDA à Rome en avril 200- seront établies et garantiront une interaction continue. Les actions prévues seront menées sur une période de 18 mois suivant une approche participative impliquant l’ensemble des acteurs concernés (Ministère de l’agriculture, en collaboration avec l’IRA, les ONG de développement, les confessions religieuses et autres structures de développement impliquées dans la multiplication et distribution du matériel de plantation). La participation effective des structures et des personnes locales devrait assurer une continuation des activités après la fin du projet. L’approche participative dans la conduite des actions prévues de multiplication des champs communautaires, des méthodes de phytosanitation et autres techniques culturales en se basant sur l’Ecole paysanne sera d’application dès le départ du projet. Il y aura une antenne à l’IRA/ Centre de recherche de ... (Programme manioc) pour les activités au xx et une autre antenne à ... pour couvrir les activités au Plateau des .... Les activités de multiplication et d’animation/vulgarisation seront assurées par l’expert national. Les capacités du programme manioc de l’IRA et des ONG seront renforcées. Un consultant CTPD, pathologiste/virologiste et spécialiste en maladies du manioc appuiera le projet pour l’identification des maladies, établira une carte de distribution des maladies et recommandera au Gouvernement les mesures phytosanitaires et de quarantaine réglementant le mouvement du matériel végétal entre les grandes zones agro-écologiques du pays suivant la répartition et la distribution des maladies et ravageurs dans ces zones. Le projet aura l’appui des vulgarisateurs des ONG et ceux du Service nationale de vulgarisation (SNV) présents dans la zone d’activité. Chaque vulgarisateur travaillera avec une dizaine de comités villageois et avec le soutien technique de l’IRA. Il aura à animer les activités en milieu paysan suivant l’approche de l’Ecole paysanne. Ce système reprend le schéma de fonctionnement du SNV et le schéma de Recherche - Développement de l’IRA qui ont donné des bons résultats en XXX. Les activités principales comprendront : Du 1er au 9ème mois
Ces 50 ha seront plantés à 1 m x 0,5 m pour avoir une bonne densité après le dessouchage (roguing) des plants malades. Il y aura donc plus de 1 million de mètres de boutures saines qui permettront de replanter chez des paysans individuels un total de 400 à 500 ha (à l’écartement normal d’environ 1 m x 1 m) de manioc indemne des maladies importantes 10 à 12 mois après le démarrage du projet. Les paysans bénéficiaires des nouvelles boutures seront encadrés pour une bonne phytosanitation de leurs champs. A la première distribution, les 50 ha du départ seront recepés (ratooning) pour fournir encore plus de 1 million de mètres de boutures l’année suivante. Le recepage peut aller jusqu’au 3ème cycle de végétation dépendant de la fertilité du sol et de l’éclaircissement à temps des jeunes repousses après le recepage. Du 9ème au 18ème mois
VI. RENFORCEMENT DES CAPACITÉSLa responsabilité directe d'exécution des activités du projet sera confiée à l’équipe de cadres nationaux du Ministère de l’agriculture et de l'IRA. Chacun travaillera, selon son domaine de compétence, sous la direction d'un coordonnateur national et avec l’appui technique d'un expert national. Le Gouvernement assurera la participation à temps plein du staff de contrepartie nationale durant toute la durée du projet. L'équipe nationale pourra ainsi acquérir l'expérience et la connaissance technique qui seront transmises aux techniciens/formateurs et aux agriculteurs-multiplicateurs de boutures qui participeront activement aux cours de formation. Le renforcement des capacités dans ce projet mettra l'accent sur : - l'acquisition des infrastructures nécessaires pour la multiplication rapide et la propagation aux stades primaire et secondaire de matériels de plantation du manioc. - l'amélioration de capacités des ressources humaines par la formation du personnel national et des agriculteurs-multiplicateurs, et la mise en place des activités de l'école paysanne. VII. APPORTS DE LA FAO1. Personnel
2. Frais de voyages autorisés (12 000 dollars EU)
3. Contrats avec des structures communautaires et ONG (25 000 dollars EU)
4. Frais généraux et directs de fonctionnement (35 180 dollars EU)
5. Matériels et fournitures (35 000 dollars EU)
6. Équipement (36 000 dollars EU)
7. Formation (49 500 dollars EU)
VIII. RAPPORTSA la fin de chaque mission, l'expert national et le consultant CTPD prépareront un rapport technique comprenant les activités, les résultats, les conclusions et les recommandations. Le rapport de la première mission au démarrage du projet comprendra également la programmation et le plan de travail révisé tandis que celui de la dernière mission devra faire état de l'impact de l'opération. Le Coordonnateur national devra préparer, tous les 3 mois, un rapport d’avancement étayé en précisant le degré de réalisation des activités et en communiquant les ajustements nécessaires, le cas échéant, au plan de travail. L'expert national doit coordonner la préparation du brouillon du compte rendu final couvrant les activités, résultats, conclusions et recommandations pour le suivi, conformément aux procédures du PCT. Celui-ci sera soumis au Gouvernement par la FAO après sa mise en forme finale par les services techniques du Siège. IX. CONTRIBUTION ET SOUTIEN DU GOUVERNEMENTLe Ministère de l’agriculture sera responsable de l’exécution du projet et spécifiquement de ce qui suit :
BUDGET DU PROJET COUVRANT LA CONTRIBUTION DE LA FAO (en dollars EU)
Pays: XXX Dénomination du projet: Appui à la multiplication et à la distribution de boutures saines de manioc au xx et à zz Numéro du projet: TCP/XXX/....
Annexe 1Termes de Mandat CONSULTANT CTPD EN PATHOLOGIE DU MANIOC
Sous la supervision technique de AGPC et autres services concernés (AGPS, AGPP), la supervision opérationnelle de RAFR et directe de Représentant de la FAO et en étroite collaboration avec l'Expert national et le Coordonnateur national du projet, le consultant CTPD en pathologie du manioc sera chargé d'accomplir les tâches suivantes : 1ère Mission : (1 mois)
2ème Mission : (1 mois)
Durée de la mission : 2 mois répartis en deux missions. Lieu d’affectation : Capitale du pays ou IRA ... avec des déplacements dans la zone du projet (xx et au Plateau ...). Qualifications : Le consultant CTPD devra être titulaire d’un diplôme supérieur en protection des plantes (Ir.MSc ou PhD) et doit avoir une connaissance approfondie dans le domaine des maladies et ravageurs de manioc. Une expérience dans l’identification des maladies virales du manioc sera essentielle. Annexe 2Termes de Mandat EXPERT NATIONAL SPÉCIALISTE EN MULTIPLICATION DU MANIOC
Sous la supervision technique de AGPC et autres services concernés (AGPS, AGPP), la supervision opérationnelle de RAFR et directe de Représentant de la FAO et en étroite collaboration avec le Coordonnateur national du projet et le personnel d'appui, l'Expert national sera chargé d'accomplir les tâches suivantes : 1ère Mission : au début de projet (6 premier mois)
2ème Mission : avant la fin du projet (4 dernier mois)
Durée: 10 mois répartis en deux missions. Lieu d’affectation: IRA ... avec des voyages dans la zone du projet. Qualifications: L’Expert national devra être titulaire d'un diplôme supérieur en agronomie/horticulture (Ir.MSc ou PhD). Une expérience préalable dans le domaine de multiplication de manioc est essentielle.
Annexe 3Proposition de Termes de Mandat COORDONNATEUR NATIONAL DU PROJET
Sous la supervision du Ministère de l’agriculture et en étroite collaboration avec le Représentant de la FAO, avec l'Expert national et avec l’appui du consultant en pathologie et du personnel local, le Coordonnateur national veillera au bon déroulement des activités du projet. Plus spécifiquement, il sera chargé de :
Annexe 4Termes de Mandat
1ère mission - 7 jours au début de projet en vue de :
2ème mission - 7 jours à la fin du projet en vue de :
Annexe 5Termes de Référence CONTRATS DE MULTIPLICATION ET DISTRIBUTION DES BOUTURES.
Objet Conduire, en sous-traitance avec les structures communautaires et selon le plan de travail approuvé, les activités de propagation des boutures de manioc. Les boutures de manioc ainsi produites doivent être de bonne qualité et indemnes de maladies. Tâches à accomplir
Résultats attendus Disponibilité des boutures de manioc à planter afin d'augmenter la production du manioc et contribuer à assurer la sécurité alimentaire dans la zone du projet. Structures de sous-traitance : Associations paysannes, Communautés confessionnelles, Groupes d'agriculteurs-multiplicateurs et ONGs locales. Structure de coordination : IRA/.... Coût total estimé : [1 250 $/ha (coût d’établissement d'1 ha de champ de multiplication et de distribution de boutures) x 20 ha = 25 000 $EU]
Annexe 6
Annexe 7
Atelier de démarrage du projet Un atelier de 2 jours pour le démarrage du projet afin de déterminer les actions prioritaires à mener et de finaliser le programme d'activités. Il regroupera 30 participants représentants les partenaires (Ministère de l’agriculture , l’IRA, les ONG de développement, les églises et autres structures de développement) dans l'exécution du projet. Coût estimé : 30 x 2 x 50 $(transport and séjour à la capita le) = 3 000 $EU Formation des formateurs La session de formation des formateurs aura à approfondir, entre autres, les techniques de multiplication rapide et conventionnelle de manioc, l’identification des maladies et ravageurs, la phyotosanitation, le choix des variétés et boutures, les techniques culturales appropriées, l’approche participative y compris la méthode de l’école paysanne.
Formation des agriculteurs-multiplicateurs Les agriculteurs-multiplicateurs seront formés dans les centres de multiplication communautaires aux techniques de propagation de matériel de plantation, à l'utilisation des pratiques culturales améliorées et de lutte intégrée selon la méthode de l'EP.
École paysanne (EP) pour les agriculteurs. Le projet aidera à mettre en place les bases d'une école de terrain pour augmenter la production du manioc de manière durable dans le cadre d'une participation plus active des femmes (et des hommes) dans la lutte intégrée (IPM) contre les maladies et ravageurs du manioc. L'objectif principal est de développer chez les groupes de femmes/hommes agriculteurs un bagage technique pour continuer (par eux/elles-mêmes) à faire face aux problèmes de la production du manioc après le projet. L'EP va utiliser les champs communs pour montrer, expliquer par des exemples et permettre aux agriculteurs de comprendre et adopter des recommandations acceptables au sein de leur dynamique, réalités écologiques, sociales et économiques.
Atelier de fin de projet Un atelier de restitution de 2 jours regroupant 30 participants représentant les partenaires (Ministère de l’agriculture, l’IRA, les ONG de développement, les églises et autres structures de développement) dans l'exécution du projet. Il débattra de résultats du projet afin de dégager les conclusions et recommandations pour une production durable du manioc. Il constituera un forum pour discuter de l'ébauche de la stratégie nationale de manioc en présence des partenaires au développement intéressés au manioc. Coût estimé : 30 x 2 x 50 $= 3 000 $EU.
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